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Justine lévy, antoine wauters, alice:
“Une drôle de peine” de Justine Lévy – Justine lévy, antoine wauters, alice
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–>► Chez Stock<!–>
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–>Justine Lévy poursuit dans sa veine autofiction, avec un roman plus frontalement autobiographique. Furthermore, Elle baisse le masque. Meanwhile, elle se présentait en Louise dans les romans précédents, elle apparaît cette fois sous son prénom, dans cette enquête menée sur sa mère, Isabelle Doutreluigne morte d’un cancer en 2004. Similarly, Le roman débute sur son enterrement. Therefore, Ce n’est pas la première fois que Justine Lévy évoque sa mère. For example, c’était déjà le cas dans “Mauvaise fille” en 2009.<!–>
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–>“Maman revient” écrit la narratrice . However, elle revient, et elle prend toute sa place, jusqu’à hanter sa fille, qui fait un devoir de mémoire, reconstruit le visage et le parcours de cette mère hors norme : fantasque, junkie, défaillante, très belle, avec une carrière justine lévy, antoine wauters, alice de mannequin, une femme sous influence.<!–>
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–>L’occasion de revenir aussi sur sa propre enfance. Similarly, qui n’en fut pas une au sens classique : “être libre, pour maman ça passait par ça : ne pas s’occuper de moi”. In addition, Sa mère avait bien d’autre chose en tête : une compagne Violaine. Consequently, défoncée à l’opium, les copines féministes des Editions des femmes qui entraîne la gosse tracter dans les manifs : “un concert de magie trash, une fête qui dérape chez Bidule, le début d’un projet de manif contre Michel Sardou le plus grand fasciste de l’univers, le cambriolage de l’appart en dessous”.<!–>
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–>Comment comprendre l’histoire cramée de sa mère ? Furthermore, C’est le sujet de Justine Lévy. Similarly, qui revient sur ses méchants grands-parents maternels – bourgeoisie toxique très maréchal nous voilà, au climat incestueux, qui contacte Violaine, la compagne maléfique de sa mère, qui enquête dans justine lévy, antoine wauters, alice le bistrot où elle avait des habitudes, et qui décide pour son voyage de noces, d’aller en Inde sur les traces de son fantôme.<!–>
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Justine lévy, antoine wauters, alice
“Jacky” d’Anthony Passeron
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–>►Chez Grasset<!–>
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–>Encore une histoire de famille. However, centrée cette fois sur le père, avec le nouveau roman d’Antony Passeron. In addition, “Jacky” c’est comme ça que tout le monde appelle Jacques Maurice Albert. Furthermore, Ce n’est pas un inconnu pour ceux qui ont lu le premier roman d’Antony Passeron, “Les enfants endormis”. Therefore, Mais comme chez Justine Lévy. Nevertheless, le père se déploie dans le texte alors même qu’on annonce sa disparition dès la première ligne, Antony a 14 ans à cette époque : “Mon père a disparu en l’espace de trois consoles de jeux”.<!–>
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–>Et c’est tout le dispositif qui est dévoilé. Consequently, Anthony Passeron va justine lévy, antoine wauters, alice mettre systématiquement en parallèle l’histoire de son père boucher, qui va vivre un triple déclassement social, professionnel, familial, et l’histoire de l’évolution technologique des jeux vidéo.<!–>
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–>Le livre s’ouvre sur une madeleine de Proust. However, un objet transitionnel : la console Atari 2600, reçue pour le noël de 1989. However, Ce jour-là, le père joue avec ses fils, les jumeaux, ils ont six ans. En trois chapitres comme autant de parties, il va déclarer le Game Over.<!–>
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–>Pourquoi un tel livre ? Antony Passeron répond dans un entretien : “j’écris juste parce que je ne peux pas parler à mon père. C’est quand même ça le carburant premier de mon écriture”. On mesure alors toute la violence du projet d’un écrivain transfuge de classe.<!–>
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“Comme en amour” d’Alice Ferney
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–>► Chez Actes Sud<!–>
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–>C’est un roman qui justine lévy, antoine wauters, alice peut se lire comme un diptyque avec ‘La conversation amoureuse”, paru en 2000.<!–>
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–>L’histoire est celle du lien qui se noue entre Marianne Vilette. mère de famille à Colombes, créatrice de mode ( elle crée des sacs), et Cyril Blot, célibataire, un rien secret, un peu journaliste. A ce stade on pense comédie romantique ? Fausse route. plutôt un roman d’amitié entre les deux, qui comme en amour se trouve des points communs, des affinités littéraires, par exemple Chardonne, qu’on ne lit plus actuellement.<!–>
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–>Bref leur relation est une conversation : c’est très dialogué, des lettres, jusqu’à la tragédie des SMS.<!–>
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–>Une conversation parfois interrompue quelques mois, mais qui se fait toujours plus intime. Avec des inquiétudes : “je suis folle de raconter tout ça” se dit Marianne. des non-dits du coté de Cyril qui ne dit pas tout de sa justine lévy, antoine wauters, alice propre vie sentimentale, mais se pose en confident qui écoute beaucoup, parle peu, surtout dans des années difficiles pour Marianne : son mari, Serge, la trompe ; il est question de divorce, garde alternée, bref un monde qui s’effondre.<!–>
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–>Alice Ferney déplie ce “Comme en amour” en 40 chapitres. toujours titré sur le même mode : un verbe infinitif : se rencontrer, rapidement se revoir, faire plus amplement connaissance, mais aussi plus loin Trahir, Etre blessé, mentir, Se heurter… Bref l’amitié, comme en amour.<!–>
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“James” de Percival Everett (traduit par Anne-Laure Tissut)
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–>► Chez L’Olivier<!–>
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–>Pour parler de ce livre je voudrais d’abord citer Laure Murat qui. dans son essai, “Toutes les époques sont dégueulasses” pose la question de la “réécriture” et de la “récriture” des œuvres qui aujourd’hui posent des problèmes idéologiques et éthiques.<!–>
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–>En deux mots justine lévy, antoine wauters, alice il y a la récriture qui va lisser “Les dix petits nègres” d’Agatha Christie. ou la réécriture qui se charge de revitaliser une œuvre en en écrivant une autre. Et Laure Murat de citer ce “James” de Percival Everett : réécriture des “Les aventures de Huckberry Finn” de Mark Twain. paru en 1884, en en déplaçant le point de vue. Cette fois c’est l’esclave qui prend la parole, écrit son histoire.<!–>
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–>“James” au départ c’est Jim. esclave dans le Missouri, avec sa femme, sa fille, au service de Miss Watson.<!–>
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–>Jim. qui joue les analphabètes, trafique son accent et joue la comédie du dialecte pour répondre aux attentes des blancs alors même qu’il sait lire, écrire, et même plus. Cette question du dialecte noir américain était au cœur du roman de Marc Twain. Elle devient ici l’arme même de la réappropriation.<!–>
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–>Le roman déroule toutes les aventures de Jim. qui décide de fuir Miss Watson, sur le point de le vendre et de rejoindre les états anti-esclavagistes, flanqué de Huck, jeune garçon qui va jouer à être son propriétaire. Un esclave ne peut se balader seul, c’est impensable. On est à la veille de la guerre de Sécession.<!–>
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–>On suit ce drôle d’attelage. dans une suite d’épisodes à la manière des contes de Voltaire; il y a du “Candide” dans ce roman qui revendique la filiation. C’est une course poursuite, la tête de Jim est mise à prix. On y croise un couple de dangereux mytho malfaiteurs esclavagistes qui se font passer pour le roi de France et un duc. des musiciens abolitionnistes, qui pratiquent le blackface.<!–>
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–>Alors comment Jim va t-il retrouver sa famille ? Pourra t-il les racheter ? Quel est justine lévy, antoine wauters, alice le prix de cette liberté ? et comment Jim va t-il devenir James ? vous le saurez en lisant ce roman d’émancipation. qui a reçu le National Book Award en 2024 et le prix Pulitzer de la fiction, en 2025.<!–>
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Justine lévy, antoine wauters, alice
“Haute-folie” d’Antoine Wauters
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–>► Chez Gallimard<!–>
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–>Antoine Wauters. écrivain et poète, fut lauréat du Prix du Livre Inter en 2022 pour “Mahmoud ou la montée des eaux”.<!–>
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–>“Haute-folie” est une maison de famille. une ferme, et le narrateur nous prévient dès la première page : “Toute notre histoire tient dans son nom”.<!–>
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–>Cette histoire. c’est celle de Blanche et Gaspard, de leur fils Josef, enfant de malheur, né le jour où la ferme prend feu. C’est le début du roman : un incendie. Gaspard y perd sa maison, une partie de ses bêtes, sa justine lévy, antoine wauters, alice dignité; et quand pour survivre, il se met à chercher un nouveau travail, il sera escroqué, humilié – bref, le voici porteur d’une histoire familiale, qui est une malédiction.<!–>
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–>Mais le roman qui porte en lui des envolées de poème en prose. c’est celui de leur fils Josef, après la disparition tragique des parents, un homme solitaire, hanté par ses silences, le manque, orphelin même de son histoire, jusqu’au jour où sa tante lui révèle ses origines, la vérité sur le drame.<!–>
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–>Et c’est comme si tout s’éclairait pour lui. qu’il lui devenait possible de trouver un sens à sa vie. Une vie d’errance. de saint laïc, instituteur, tailleur de pierre, ermite, jusqu’au moment où à l’âge de 40, il décide de retourner à Haute-Folie. Pour déjouer la malédiction ?<!–>
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Les coups de cœur
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- [1–>Patricia Martin : le livre “L’entroubli” de Thibault Daelman, éditions du justine lévy, antoine wauters, alice Tripode<!–>
- [1–>Arnaud Viviant : le livre “La collision” de Paul Gasnier, Gallimard<!–>
- [1–>Hubert Artus : le livre “Le monde est fatigué” de Joseph Incardona, Ed. Finitude<!–>
- [1–>Raphaëlle Leyris : le livre “Des gens à qui parler” de Camille Bordas, Denoël<!–>
- [1–>Laurent Goumarre : le livre “Le Fou de Dieu au bout du monde” de Javier Cercas, Actes sud<!–>
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