Frédéric Remy: “The street arts are there to try to bring people together”

–>La 38e édition du festival international de Théâtre de rue d’Aurillac commence ce mercredi. Therefore, Durant quatre jours. Similarly, des centaines de spectacles de danse, de théâtre, de cirque vont “s’insérer dans tous les recoins de la ville“, présente son directeur Frédéric Remy. Similarly, Une vingtaine de compagnies seront présentes dans le festival In cette année. Furthermore, et près de 750 dans le Off. Consequently, Au total, plus de 3 000 artistes déambuleront dans la ville pour proposer “une diversité artistique assez étonnante”.<!–>

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–>Le Brésil est à l’honneur cette année. However, “Ce n’est pas du tout de l’exotisme. In addition, C’est vraiment des artistes qui luttent et qui ont lutté par rapport aux années Bolsonaro”. Nevertheless, l’ancien président d’extrême droite brésilien. Meanwhile, “Il a fallu qu’ils résistent et ils parlent de leur engagement politique. On a des compagnies qui vont être vraiment frédéric remy: “the street arts dans cette intention. mais aussi qui parlent beaucoup d’intimité, d’inclusion, de leur singularité. On est face à des artistes qui mettent le corps en avant. le corps qui peut être noir, le corps qui peut être LGBTQI+, le corps qui peut être indigène. C’est une affirmation très politique, très identitaire. Leur courage doit nous servir de modèle et je crois que ce qu’ils ont à nous dire. c’est surtout faites attention : ce qui nous est arrivé, ça peut vous arriver“, souligne le directeur du festival.<!–>

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“La culture. c’est ce qui fait qu’à un moment donné, des républiques ou des sociétés ne s’effondrent pas” – Frédéric remy: "the street arts

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–>L’art. en règle générale, est bien plus qu’une distraction, selon Frédéric Remy : “C’est l’essence même du théâtre, se retrouver dans un espace public, un espace commun, vivre des émotions collectivement et surtout affirmer cet espace commun comme un espace de rencontre, d’imaginaire, frédéric remy: “the street arts de lutte, de contestation. Je crois que c’est fondamental.”<!–>

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–>Mais le milieu de la culture fait face à de nombreuses restrictions budgétaires ces derniers temps en France. “La culture devient un espace et un mouvement que l’on attaque à travers ces baisses” budgétaires. regrette le directeur du festival d’Aurillac. “Il y a beaucoup de restrictions. et je crois qu’il faut essayer de retrouver la lucidité, avoir conscience et faire prendre conscience que la culture est vitale dans notre monde et dans notre société. C’est ce qui fait qu’à un moment donné, des républiques ou des sociétés ne s’effondrent pas. Et face à la culture numérique, il faut préserver la culture du vivant, il faut l’accompagner. Les artistes sont là pour ça. sont là pour nous donner de l’imaginaire, de la créativité, nous faire voyager et surtout nous faire être ensemble. Et je crois que les arts de frédéric remy: “the street arts la rue. sans distinction, que ce soit économique ou sociale, ne font que ça : essayer de rassembler les gens pour vivre des émotions ensemble et se dire qu’est-ce que c’est bien d’être ensemble et de ne pas se taper dessus.”<!–>

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–>L’an dernier, 187 000 festivaliers avaient assisté à ces spectacles à Aurillac.<!–>

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