Emmanuelle Bercot: Sometimes there aren’t any moments when we stop playing?

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Emmanuelle bercot: sometimes there aren't:

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–>L’édito de Charles Pepin :<!–>

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–>J’aimerais ce matin vous raconter l’histoire d’une femme qui monte sur scène. Moreover, Elle se dit parfois que c’est l’endroit au monde où elle se sent le mieux. Furthermore, que c’est le lieu où elle se sent le plus elle-même. Elle monte sur scène et elle se laisse traverser par les émotions de son personnage. However, Mais qu’est-ce qui se passe au juste, quand elle monte sur scène ? Therefore, Et surtout, quand elle y est si bien ? Furthermore, Quand soudain ça marche : comme un surgissement, une évidence, une présence. Nevertheless, Quand enfin elle est ce personnage. In addition, Est-ce que ça veut dire qu’il lui faut jouer à être une autre pour devenir pleinement elle-même ? Therefore, Est-ce qu’elle va nécessairement chercher quelque chose de vrai en elle pour incarner son personnage ? Mais alors, qu’est-ce qui emmanuelle bercot: sometimes there aren’t est du jeu, et qu’est-ce qui n’en est pas ? Et quand elle se retrouve le soir au resto avec ses potes. qu’est-ce qu’il reste en elle de ce jeu, qu’est-ce qui reste en elle de celle qu’elle a été sur scène ?<!–>

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–>Mais au fond, cette question ne se pose pas simplement aux comédiens ou aux acteurs. Regardez le garçon de café si bien décrit par Sartre dans L’Être et le Néant : il n’a pas. besoin d’être sur une scène de théâtre pour jouer à être ce qu’il est. Et regardez dans votre entreprise celle qu’on nomme votre N+1 : vous vous souvenez. cette dernière réunion, cet enfer sans fin ? N’était-elle pas, elle aussi, en train de jouer son rôle comme un bon petit soldat ? Et même quand nous pleurons, pleurons-nous vraiment toujours au premier degré ? Ne sommes-nous pas parfois aussi en train de nous regarder pleurer ? emmanuelle bercot: sometimes there aren’t Nos émotions ne seraient-elles alors que des signaux que nous nous envoyons, en bons animaux sociaux que nous sommes ? Oui, peut-être, mais pas seulement…<!–>

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–>Il y a bien ces moments… où nous cessons de jouer. où la vie nous prend, nous révèle, nous traverse ? Est-ce à dire que, parfois, nous cessons enfin de jouer ? Et si c’était cela, la présence ?<!–>

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–>Pour en parler ce matin, j’ai la joie de recevoir une femme qui va, je crois, nous éclairer. Actrice. comédienne, réalisatrice et scénariste, primée à Cannes dès 1997 pour son premier court métrage, puis en 2015 pour son rôle dans Mon Roi, qu’elle a également co-scénarisé, Molière de la meilleure comédienne dans un spectacle de théâtre public en 2024 pour son rôle dans Après la répétition/persona, mis en scène par Ivo Van Hove, Emmanuelle Bercot est avec nous ce matin sous le soleil de emmanuelle bercot: sometimes there aren’t Platon.<!–>

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–>A l’affiche aujourd’hui. aux côtés de Marine Vacth, de Grégoire Colin et de Niels Schneider, de l’excellent BADH, film d’action ultra efficace de Guillaume de Fontenay qui sort dans deux jours, elle nous a fait la grâce d’apparaître ce matin dans la caverne de France Inter et, en sa compagnie, nous allons nous demander si la vie n’est qu’un jeu. S’il n’y a pas parfois. dans le cœur vibrant de nos émotions, des moments où nous cessons, enfin, de jouer ?<!–>

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–>Programmation musicale :<!–>

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  • [1–>NINA SIMONE – Trouble in mind – 1965<!–>
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  • [1–>BENJAMIN BIOLAY – Juste avant de tomber – 2025<!–>
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